Le rouge, la vie

J’ai mis une jupe volante sous laquelle les regards se perdent.

Sous laquelle la lumière réfléchit sur un lac de sang.

Des diamants et du rouge carmin, sur la rive, de la terre glaise.

Une corde au bout de laquelle la vie se suspend,

Un flux douloureux rythmant les saisons, indexé sur l’horloge de la vie.

Indomptable comme un pur sang.

Il y a des réalités desquelles les regards s’enfuient.

Un peu d’hémoglobine et le rêve périt.

Que se cache t-il sous les jupes des filles?

De la joie, de l’espoir, des déceptions aussi.

En un mot la vie.


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